Elle est enfin arrivée. Chez moi. Nous sommes désormais seuls. L’ambiance s’est chargée d'électricité dès son arrivée. D’abord une vision. Une femme élégante, féminine, joyeuse et puis une odeur. Celle de son parfum, de sa peau et déjà de son souffle lorsque nous nous faisons la bise. Je respire plus vite. Mon coeur s'emballe. Déjà. Il va falloir se reprendre et rien laisser transparaître. Je sors, les verres et une bonne bouteille. Un rouge italien, recommandé par un bon ami, fin connaisseur. Notes boisées, légèrement épicées avec un subtil parfum de rose. Elle se tourne vers moi tandis que j’aérais notre breuvage - Oh et puis merde pour l’apéro ! Ses lèvres, brillantes, rosies par un désir perceptible m’appellent. Irrésistiblement. Je la pousse contre le mur, subtilement, sans lui laisser le choix, agrippe ses deux mains, et les cloue au-dessus de sa tête tout en l’immobilisant avec mes hanches. De ma main libre, je l’attrape par ses long cheveux et tire dessus, sensuellement, pour lui renverser la tête en arrière. Puis… J’écrase mes lèvres contre les siennes. C'est presque douloureux. Je perçois un gémissement comme un ravissement, livrant passage à ma langue qui en profite pour explorer sa bouche. Je l’embrasse comme elle n’avait encore jamais été embrassée. Son corps se cambre et se convulse au contact de ma langue. Je sens qu’elle perd pied, déjà, et qu’elle s’abandonne à cette pulsion libératrice. Je perçois une chaleur, une énergie folle dans son ventre. Je touche ses cuisses, glisse mes mains sous sa jupe. Elle est nue, sans artifice et déjà, je sens couler sa chatte. Je glisse un doigt. Tout en douceur, en la soutenant du regard. Je décris un large cercle avec mon doigt, m'étire, me distend. C’est trop …déjà Son corps supplie qu'on le soulage. Elle se laisse aller totalement, incapable de me refuser plus longtemps. Je me laisse aller à mon tour Bordel de merde. Que c’est bon !